「 TRYING TO WRITE MY PERFECT STORY. I’M WORKING NIGHT I’M WORKING DAYS. TO PROVE THE WORLD THAT I AM WORTHY. OF BEING SEEN OF BEING PRAISE」 ADDA ADONIS BLEDDYN, derrière ses pupilles qui papillonnent et exercent d’innombrables efforts, il laisse son crayon traçait ou effaçait afin de faire de l’or. Il oublie le reste pour continuer à subsister, au-delà de ses
VINGT-TROIS ANNEES. Sa main trace loin de l’abstrait, peut-être un peu altérer mais jamais sans s’arrêter. Cela n’est jamais répétitif, lui natif de
CARDIFF. Il laisse les nuances, avec quelques mots murmurés du bout des lèvres
ANGLAISES et ses yeux qui scrutent, à leurs aises. Malgré une vie fendue, ses revenus restent tendus (aisé normalement,
MODESTE assurément) pour acheter un crayon, un pinceau et laisser une trace indéfiniment. Un plan ou une perspective, son cœur penche vers les toiles vives : peu importe le croquis, car il est
PEU CONQUIS. Il porte à ses lèvres ce crayon, se demandant s’il en fera une élévation. Lui-même n’est pas une
ECHELLE TRÈS HAUTE, mais sans doute à t-il besoin d’être
REHAUSSER près d’un hôte. Quiconque peu le voir qu’il n’est pas polychrome, semblable au
MONOCHROME. Cependant, quelques traces sont inscrites sur sa peau, esquisse encrée qu’il cache sous un étau.
Son angle de vue est en contre-plongée, lui qui arrive en
CINQUIÈME ANNÉE D’ARTS APPLIQUES, car le dessin est sa destinée. Il commence déjà à travailler en tant que
SCÉNOGRAPHE, pour dresser des fresques loin de l’éphémère des photographes. Haussement d’épaules sous une témérité qui miaule, avec le silence du bois qui lui répond dans cette
PIAULE (Thetys). Peut-être est-il dans l’attente d’autres pas, mais sans savoir s’il les tiendra dans ses bras. De ses congénères, il n’a que ses lèvres qui se craquellent devant les regards universels. Parce qu’il est
INDÉCIS.
「 L'APPRÉHENSION L'ÉTRANGLE D'UN AIR AIMABLE D'UNE FAÇON BANCALE 」 RÉALITÉ ALTÉRÉE - Que la candeur s’éreinte et ne pas laisser l’imagination s’éteindre. Que les marques du papier deviennent réalité, s’inscrivant sur les murs et les sols et non sur les toiles molles. Son regard dépeint se pose sur les os qui semblent s’étioler, mais ce n’est que son esprit craquelé. Vivifiant, gratifiant, terrible et inaudible. Il sait lorsque les esquisses s’échappent de leur toile, mais se perd parfois dans un voile. Croit-il parfois que ses motifs sont dessinés, alors que cela n’est que dans son esprit éreinté. Il en perd alors le sourire, se repliant dans sa folie qui le fait rire. (lorsqu'Adda dessine (stylo, crayon, pinceau...) sur une surface (papier, toile, murs...), le dessin peut prendre vie et sortir de sa zone durant quelques petites heures. Cependant, il peut sortir sans qu'Adda ne le maîtrise.) Une maîtrise hasardeuse, quelques murmures seront vrais, comme certaines illusions pour lesquels il œuvrait. (les esquisses sortent de leur surface à leur gré ou selon le désir d'Adda. Cependant, ils ne disparaîtront qu'au bout de quelques heures, à moins de brûler la surface. Retravailler une zone change également le dessin qui a prit vit, mais ne permet pas de le détruire.) Il évite les plaintes et les murmures incertains, il conserve cette fébrilité de
BETA,
méfiant de l’Etat. Car il est difficilement impressionnable, préférant le silence affable.
• • Adda est un carnage Lèvres craquelées qui ne cherchent jamais à affectionner et ne les mots ne savent se trouver. Son regard se perd parfois, au damne de sa foi. Pourtant, ses pupilles fixent souvent les visages qui se mouvent parmi les uns et les autres, pour s’accrocher sur un faciès à s’en faire mal aux côtes. Il n’y a jamais de chaleur inattendue, mais seul un sourire décousu. Parce qu’Adda à toujours vécu ainsi,
pour se défaire des cris mal dégrossis. Et Adda, il a toujours su inventer toutes sortes de fabulations et d’excuses pour donner raisons à l’animation de ses esquisses dont il use.
Il reste bercé par les songes, pour ne pas écouter les paroles qui le ronge. Même si son nom n’est pas un joli son, en se regardant dans le miroir il peut apercevoir ce visage (
Ce tatouage, un crayonnage). Il s’insurge d’une vie qui prolifère, s’évertuant et s’acharnant sur ces terres, pour ne jamais effacer cette nature qui le domine sachant qu’il est véritable
champ de mine. Adda n’est pas doucereux ni chaleureux, mais honnête et un brin bête. Adda est assez discret (mais il se fait toujours remarquer, par ses
cheveux cendrés, par sa peau tatouée, si peu cicatrisée) et reste appliqué. Il ne se laisse pas souvent aller, lui si peu animé. Il n’est pas un saint et ne reste jamais sans rien.
Lay/Laymes/Pendulum comme vous voulez. J'ai pas pu résister tellement le fofo est nfdkbnldk, ma disponibilité est assez malléable.
- Code:
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<st2>Réalité altérée</st2> ― Adda Bleddyn
<st2>Étudiant/Scénographe</st2> ― Adda Bleddyn
<st2>Allen Walker</st2>, [i]G.Gray-Man[/i] ― Adda Bleddyn