Surnom: Mr Lova Lova
Âge, lieu de naissance:
Née il y a 19 ans, à Ängelholm - Suéde -.
Origine(s): Un sang qui bouillonne d'Europe. - Suède et Grande - Bretagne principalement. -
Situation financière: Trés modeste.
Orientation sexuelle: Hétéro-sexuelle.
Côté coeur: Trop fière pour admettre qu'elle tombe amoureuse de tous les garçons du monde.
Corpulence: 1m58 / 55 Kg
Signe particulier:
Ne va nulle part sans une casquette sur la tête.
Cursus: Études cinématographiques .
Année d'études: Première année.
Métier: - Elle aide de temps à autres son père à gérer le petit Karaoke familial -.
Rôle: Membre du Klan.
Résidence: Athena.
Avis sur les altérés ? Un manque d'Objectivité affligeant. Les altérés sont des dieux, un point c'est tout.
Tu étais morte.Toi, tu as toujours aimé te battre, oui, tu l'as toujours fait.
Déjà en maternelle, t'étais rien qu'une petite teigne. Ça s'est jamais arrêté.
Tu trouvais des prétextes à deux balles.
Tout ça pour aller chercher un semblant d’adrénaline dans les coups faiblards que tu portais.
Le gros gosse boutonneux de ton école là, hum... je sais plus très bien son nom, enfin bon, lui, il se gênait pas non-plus pour te remettre à ta place. Sans aucun mal.
Après tout tu es si fragile. Rien dans les bras, et rien dans l'crane.
Ce soir là tu rentrais encore avec le nez défoncé... Il était quoi?... P'têt une heure du mat? Avec le recul je me dis que j'aurais dû m’inquiéter d'avantage pour toi. Mais je sais bien que comme d'habitude, c'est toi qui avait lancer les animosités.
Tu fais pareil à la maison...
J'ai encore du mal à croire qu'après tout les coquards et les bras cassés que tu t'étais fait, tu continuais à provoquer les gens.
Quoi qui'il en soit, cette fois-ci tu ne semblais plus trop savoir ou tu étais.
J'avais d'abord cru que tu avais reçu un coup un peu trop violent sur ta tête... Je t'avoue qu'a ce moment précis je ne savais pas si je devais te sermonner ou bien appeler les urgences sans attendre.
Alors j'ai touché ton épaule du bout des doigts et j'ai senti ton corps frissonner.
Tu t'es écroulé, inanimée, les yeux vides, j'ai cru te perdre.
Je t'ai perdue.
Quand les secours sont arrivés j'étais au près de toi. Je commençais déjà à me résoudre à devoir déposer des fleurs sur ta tombe tous les dimanches. Quelles fleurs ? Des pivoines ou bien des roses?... Mais tu n'as jamais aimé les fleurs... Alors j'aurais déposé des offrandes, des bouteilles de Vodka et des chips au vinaigre. C'est vrai, on est au Japon, autant suivre les coutumes.
Un gars - surement un ambulancier - s'est penché sur moi, il a essayé de me demander quelque chose. Je crois qu'il voulait s'informer, savoir depuis quand tu étais au sol, et pourquoi.
Mais j'écoutais rien de ce qu'il disait. J'ai pas réussis à brailler autre chose que des sanglots et des remords. Je répétais en boucle que j'avais été le pire père au monde. Que je regrettais...
Je sais pas, je me suis peut-être dis que si tu étais encore un peu consciente, tu pouvais m'entendre, tu pouvais savoir. C'était absurde, ton cœur ne battait plus, tes yeux: révulsés.
Tu étais morte.
― Pure Bully